#liste_articles {display:block}

Structure et format de données

mardi 8 août 2006

 

Structure et format de données

Le système de diffusion multimédia du musée devra structurer les données dans un format riche et ouvert et intégrer une grammaire de programmation permettant leur diffusion selon des règles enonçables par les responsables des expositions.

Ces différentes spécifications permettront la diffusion des contenus multimédia au niveau de terminaux de lecture, d’espaces immersifs ou d’applications interactives.

Données et Grammaire

Liste des données :
 Contenus multimédia : texte, image, son, video, animation, éventuellement interactifs
 Indexations thématiques : transversale (mots-clefs) ou hiérarchique (structure arborescente), liens avec les points du programme scientifique
 Indexations contextuelles : emplacement et nature des points de diffusion
 Indexation visiteur : Profil d’affichage, préférences thématiques, historique des visites, état de présence temps réel des visiteurs, flux, ect

Grammaire :
 Syntaxe simple permettant de faire le lien entre ces différents paramètres, afin de spécifier des règles de diffusion contextualisées

Structure et format de données

Les spécifications actuelles proposeraient :
 les données de nature diverse (texte, image, son, video, animation, éventuellement interactifs) ainsi que les indexations thématiques, contextuelles ou les règles de diffusion seraient structurés en XML
 pour la communication les données (arbres multimedias, indexes, règles) seront poussées via une connexion socket du serveur vers le(s) client(s) en XML
 pour la diffusion les multimedias seront intégrables et diffusables dans des applications clientes de type Flash ou Director avec templates
 pour la publication un backoffice permettra l’ajout des données (multimedias, indexes, et règles de diffusion)

Les deux formats retenus pour la structure et la diffusion seraient donc à première vue XML et Flash.

L’étude et le maquettage de cette partie pourrait faire l’objet d’un sujet de PFE, en amont de la spécification d’algorithmes de traitement et de choix intelligent des contenus, qui en découlerait facilement.

Etat de l’art

 Pour développer son système de diffusion immersif, Philips utilise son propre langage de grammaire multimedia : le PML (Physical Mark up Langage).
Par l’utilisation de définitions et de protocoles, permets de spécificier des règles de diffusion dans une pièce ou un espace en langage natif : ambiance chaude et ensoleillée par exemple.

http://www.research.philips.com

Documents :